Georges Boubet

Utilisez une page pour les contenus fixes (Accueil, Services, Contact) et un article pour les contenus datés (blog, actualités). Les deux acceptent Elementor, mais je recommande de standardiser vos gabarits : un template « Page » épuré et un template « Article » lisible (largeur de ligne ~65–75 caractères).

• Propreté : un gabarit par type de contenu évite les designs incohérents.
• SEO : les articles bénéficient des schémas « Article » via RankMath.

Restez léger : Containers au lieu des sections imbriquées, peu de widgets, et animations discrètes. Déléguez l’optimisation à WP Rocket / LSCache (minify, UCSS, Delay JS) et à Imagify pour les images.

• Polices : servez du woff2 préchargé (2–3 variantes max).
• Images : définissez toujours width/height pour éviter le CLS.

Vérifiez les marges/paddings par breakpoint et verrouillez des hauteurs mini raisonnables. Évitez les grilles trop complexes sur mobile ; préférez une colonne unique avec des espacements constants.

• Images de héro : ratio stable (ex. 16:9) + texte non chevauchant.
• Boutons : même style primaire/secondaire sur desktop & mobile.

Utilisez le Theme Builder pour header, footer et gabarits d’articles/pages. Réservez les pages 100% builder aux landing pages. Cela garantit une cohérence et réduit les CSS inutiles.

Astuce : stockez vos variantes de sections (héros, FAQ, CTA) dans la bibliothèque Elementor pour les réutiliser.

Définissez des styles globaux (couleurs, typographies, boutons) et n’utilisez que ces tokens. Limitez-vous à 3 couleurs et 2 tailles de boutons. Créez une page Styleguide interne pour valider les composants.

Oui si vous ajoutez du PHP/CSS structurel. Sinon, WPCode Lite suffit pour les scripts header/footer et les hooks. Le child theme protège vos personnalisations lors des mises à jour du thème.

Préférez le Header Builder natif (meilleures performances, moins de JS). Elementor garde la main sur les pages de contenu et les landings.

Gardez un header compact (logo optimisé, menu simple, CTA unique).

Fixez la charte (3 couleurs, 2 polices) dans Blocksy, puis répliquez les mêmes valeurs dans Elementor. Cela évite les conflits CSS et les overrides multiples.

Utilisez Single Post (titre, méta, contenu, navigation) et ajoutez une zone liens internes (LinkWhisper). Largeur de lecture confortable (~680–760 px).

Avant update : UpdraftPlus (backup), staging si possible, puis mise à jour du thème. Testez header/footer, menus et 2–3 pages clés. Purgez le cache.

Assistant : type de site, Schémas Article/WebPage, Sitemaps ON, titres/meta par défaut, connexion Search Console. C’est la base pour indexer proprement.

Posts : Article. Pages : WebPage. Boutique : Product. Événements : Event. Adaptez par type de contenu pour booster les extraits enrichis.

Excluez tags/auteurs si non éditorialisés, pièces jointes et pages faibles. Objectif : concentrer le crawl budget sur vos contenus utiles.

Articles : {title} {sep} {sitename} (≤60). Meta : bénéfice clair + mot‑clé principal (≤155). Exemple : « Guide RankMath : réglages essentiels ».

Utilisez l’outil d’import RankMath (titres/meta, redirections). Vérifiez sitemaps et breadcrumbs, puis supprimez Yoast pour éviter les doublons.

Cache mobile ON, préchargement sitemap ON, Minify ON, Remove Unused CSS async ON, Delay JS ON. Vérifiez les pages clés après chaque activation.

Ne pas mettre en cache /panier, /checkout, /mon-compte et ne retardez pas les scripts de paiement. Ajoutez les paramètres ?add-to-cart= en exclusion.

Ajoutez une safelist pour les classes dynamiques (menus, sliders). Si besoin, repassez en CSS async simple le temps d’identifier la classe manquante.

Oui : activez APO si pertinent, synchronisez les purges et évitez de doubler le minify côté CDN. Mesurez TTFB « froid/chaud » pour valider le cache edge.

Rocket agit surtout sur le rendu (LCP/INP). Le TTFB dépend d’abord du serveur/CDN. Pour l’améliorer : cache edge (APO), base de données saine et PHP assez dimensionné.

Oui pour bénéficier du cache serveur et des fonctionnalités ESI. Sur Apache/Nginx, préférez WP Rocket (ou le cache de votre hébergeur).

CDN edge HTTP/3 avec intégration profonde : cache page côté edge, optimisation d’images, gestion DNS. Très pertinent sur trafic international.

Activez ESI pour rendre le mini‑panier dynamique (non caché) tout en gardant la page en cache. Résout les problèmes de panier « collant ».

Activez Redis/Memcached si disponible. Cela réduit la charge DB sur sites Woo ou requêtes lourdes. Sur hébergeur modeste, surveillez l’usage mémoire.

Empilement d’optimiseurs d’images, Combine CSS/JS agressif et crawler trop actif. Commencez simple, puis activez une option à la fois en testant.

Intelligent convient dans 90% des cas. Normal pour logos/visuels très nets, Ultra pour galeries non critiques. Testez toujours avant d’appliquer en masse.

Activez la génération WebP/AVIF et la réécriture. Vérifiez sur Safari (AVIF support partiel selon versions). Gardez les originaux en sauvegarde.

Utilisez Bulk Optimization après une sauvegarde UpdraftPlus. Commencez par 200–300 images, puis élargissez si tout est OK.

Excluez les logos et visuels clés (UI, produits) ou compressez‑les en Normal. Le but : zéro artefact visible.

Oui. Laissez Imagify gérer les images et désactivez l’optimisation d’images ailleurs pour éviter les doublons.

Le cloaking est admis si vous divulguez l’affiliation et utilisez rel="nofollow sponsored". Mentionnez la relation commerciale en début/fin d’article.

301 pour les liens permanents, 307 pour tests temporaires. Gardez la chaîne de redirection la plus courte possible.

Créez des catégories par programme/produit. Vous pourrez filtrer les rapports et détecter ce qui performe (ou pas).

Traitez‑les comme tendance. Pour la vérité, croisez avec la plateforme d’affiliation et GA4. Évitez les doubles comptages via redirections multiples.

Pas de redirections en série (domaine → intermédiaire → destination). Un saut suffit : plus fiable, plus rapide.

Ajoutez 6 liens entrants + 6 sortants par article. Variez les ancres et corrigez les pages orphelines via le rapport dédié.

Restez naturel : ≤30% d’ancres exactes, le reste en partielles/contextuelles. Évitez « cliquez ici ».

Ouvrez 3 articles proches et liez la page orpheline avec une ancre contextuelle. Sur Pro, l’ajout en bulk accélère la routine.

La version Free suffit pour démarrer. La Pro ajoute l’ajout en masse, plus de rapports et une meilleure sélection des ancres.

Insérez les liens dans le corps du texte, pas dans les H1/H2. Conservez la palette du thème et évitez les soulignements divergents.

Activez le honeypot + limite de soumissions. Ajoutez reCAPTCHA v2/v3 si la volumétrie augmente. Un plugin SMTP améliore la délivrabilité.

Configurez un SMTP (Brevo, Mailgun, Postmark) et testez l’expéditeur. Vérifiez aussi le domaine d’envoi (SPF/DKIM).

Ajoutez une case consentement et le lien vers la politique de confidentialité. Conservez les preuves d’opt‑in si newsletter.

Message de succès clair, puis redirection vers une page « merci » (optionnelle) avec ressources utiles pour l’utilisateur.

En Lite : via SMTP ou webhook vers votre outil d’emailing. En Pro : connexions directes (Brevo, Mailchimp, etc.).

Ajoutez GA4, pixels et outils de vérif sans toucher au thème. Les snippets peuvent être activés/désactivés proprement.

Chargez un code seulement sur certaines pages ou pour certains rôles. Moins de JS = meilleure performance.

Utilisez un enqueue propre avec versioning (buste de cache). Rangez votre code pour éviter les conflits.

Limitez l’édition aux admins et conservez un mode « sécurisé ». Testez en staging avant de pousser en prod.

Copiez vos codes dans WPCode, testez, puis supprimez les modifications dans le thème pour retrouver un coeur propre.

Passez par l’assistant, puis soumettez /sitemap_index.xml. Vous verrez les données d’indexation remonter dans WordPress.

Vérifiez qu’aucun autre tag n’est chargé (WPCode, Elementor). Un seul tracker doit rester actif pour éviter les doublons.

Activez l’exclusion des utilisateurs connectés pour assainir vos données. Les tests internes ne doivent pas polluer GA4.

Donnez aux éditeurs un rôle de lecture/consultation. Gardez les autorisations d’édition aux administrateurs.

GSC = impressions/clics dans Google ; GA4 = sessions/comportement. Les chiffres ne sont pas supposés coïncider : c’est normal.

Hebdomadaire (fichiers+DB) + avant chaque mise à jour majeure. Pour un site à forte activité, passez en quotidien.

Utilisez Drive/Dropbox/S3. Évitez de garder les archives sur le même serveur : risque en cas d’incident.

Faites un test sur staging chaque trimestre. Vous validez que la sauvegarde est exploitable et complète.

Conservez 3–5 versions. Trop d’archives = espace saturé = sauvegardes incomplètes.

Excluez wp-content/cache et les dossiers temporaires. Vous réduisez la taille des backups et accélérez les transferts.

Définissez 1920 px max pour les bannières, 1280 px pour les images standard. Évitez les originaux 5000 px qui pèsent lourd pour rien.

Après changement de tailles dans le thème, régénérez les vignettes (plugin dédié). Faites‑le une fois proprement.

Redimensionnez à l’upload, puis compressez via Imagify (WebP/AVIF). Résultat : images légères, nettes, et CLS maîtrisé.

Réservez le 2x aux éléments critiques (logos, UI). Pour le reste, priorité au poids et à la rapidité.

Renseignez toujours width/height et utilisez des ratios constants pour les blocs images/vidéos.